Pourquoi écrire?

J'ai envie d'écrire... Je sais pas sur quoi ni pour qui mais le fait est que j'aime écrire. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la portée des mots. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la force des paroles. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris que les mots étaient une arme, une arme aussi destructrice que ces fusils de chasse. J'ai aimé écrire lorsque des paysages se dessinaient dans les creux pleins et déliés des lettres. J'ai aimé écrire lorsque fermant le cahier, je me sentais comme d'un grand poids. Plus libre, plus légère, plus calme. J'ai aimé écrire lorsque je voyais des larmes ou des étoiles passant des yeux de mes lecteurs. J'ai aimé écrire lorsque je mûrissais en tentant sans cesse de m'améliorer. De prétendre au grade tant convoité de la perfection. J'ai aimé écrire lorsque je m'imprégnais du sens de chaque mot, de deux adjectifs placés côte a cote, d'une virgule ici plutôt que la, du rythme des lignes, du chant du texte. J'ai aimé écrire en sentant le vent dans mes cheveux, le soleil dans ma nuque, l'eau sur mes joues, la fumée de cigarette dans la tête, bouteille à la main, fête réussie, sourires échangés, larmes versées, la béatitude de l'instant. J'ai aimé écrire pour les secrets et histoires dévoilés. J'ai aimé écrire pour me vider l'esprit, mais également pour façonner la beauté, ma beauté. Histoire de me prouver que le monde que je voyais, je pouvais le transmettre. J'ai aimé écrire pour le courage que j'y ai puisé, l'amour que j'y ai exprimé, mais surtout l'envie de vivre que j'y ai fini par retrouver
Louloute au chocolat

Commentaires

Moi pour écrire j'ai besoin de bruit, de vie autour de moi. Parce que c'est justement ce que je décris, la vie, et pour pouvoir écrire, il faut juste avoir envie

Moi c'est pareil. Après ça dépend de ce que j'écris, parfois j'ai vraiment besoin de silence, mais quand je parle plutôt du monde, des gens, d'un monde qui vit, j'ai besoin de l'entendre ce monde.

Je sais pas ce qu'il m'arrive... Un bébé sage, I was. Une petite fille rêveuse, I was. Une enfant intelligente, I was. Une pré-adolescente joyeuse, I was. Une adolescente retournée, I am. J'ai loupé un épisode ou quoi? La rentrée au lycée, je le savais, nous avons été séparés. En ce moment, tout le monde m'énerve, d'un rien je veux les envoyer chier, pour un petit mot de trop, j'explose et retourne tout, avec au fond de la gorge, des larmes cachées. Ne pas pleurer, être forte, faire comme si rien ne me touchait, avoir le dernier mot, blesser les autres pour ne pas paraître faible... C'est plus fort que moi, je cherche la merde, à avoir raison, je provoque les gens, je sais même pas pourquoi, ils demandent rien eux ! J'ai limite plus envie de traîner avec mes amis de d'habitude, je préfère la compagnie des garçons. J'ai la haine quand on me fait ne serait-ce qu'un millième de ce que je peux faire aux autres... Je suis imbuvable. Et là, cerise sur le gâteau, je me suis engueulée avec un de mes meilleur ami ! Et je ravive la haine en plus ! Je suis invivable ! Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais...

c different des autres texte mais tout aussi interessant

En faite c'est pas un texte :3 C'est juste mon humeur de ce soir ^^

ah ok oups désolé je suis maladroite je vous l'avez dit ah bah croiss moi defois je ressens exactement la meme chose que toi je me demande pouquoi je fais ca au gens qe j'aime maus dit toi que c accause d'une colere que t'a en toi et il faut simplement se lacher pour la faire sortir et des fois elle sirt comme ca pour rien

Ouais mais bon, je me sens un peu coupable même si j'en rajoute encore une couche, toujours !

-Gaëlle t'es chiante, sérieusement, tu casses les couilles ! -Me parles plus, si c'est pour dire des trucs comme ça, m'adresse plus la parole Gaëlle ! -Il t'arrive quoi là? T'as besoin d'aide? Dis-le nous si c'est le cas. On aime pas te voir comme ça. -T'as trop changé meuf, c'est nul de changer à ce point ! -Arrête de raconter de la merde, tu me fais pitié ! Gaëlle, t'es où? Tu me manque ! Rictus, lèvre relevée et regard méprisant, oui c'est moi, Gaëlle. Je ravive la flamme, j'anime la haine comme la paix anime le tison. Je réponds, du tac au tac, surtout ne pas laisser aux autres le temps de déceler mes failles. Je cris plus fort que vous, ma langue possède plus de venin, je me sers mieux des mots, j'ai une longueur d'avance. A deux on marche peut-être plus loin mais je m'en fout, tout seul, on marche plus vite. Vous pourrez dire ce que vous voudrez, je vous regarderait avec un air égal, un air supérieur, si vous avez le malheur de me faire remarquer que je souris trop pour être vraie, je vous dirais vos 4 vérités, je vous ferais passer votre pire quart d'heure. Je suis la haine, je suis le mal, Je crois bien que je suis anormale. L'adolescence diront certains, trop de violence diront d'autres. J'en sais rien, je sais juste que j'aime pas m'attacher, que j'aime pas dépendre des gens comme d'un tabac. Au bout d'un moment , je me lasse, c'est plus fort que moi. Moi j'ai besoin d'action, de mouvements, adrénaline, d'une folle course poursuite. Les petites amitiés gentilles et roses, ça va un temps mais je veux des clashs, de la haine, des mots crachés juste pour voir. Je veux conquérir du nouveau monde, me tester et les tester. Je suis exigeante envers moi-même, mais je le suis également avec les autres. Un mot de trop, un pas de travers, meilleure amie ou pas, je m'en bas, je te le dis, ça te plait, ça te plait pas, c'est du pareil au même pour moi. C'est quand même dingue qu'à cet âge où les gens se réfugient dans leur groupe d'amis, moi je cherche à ce point à m'en démarquer, à leur échapper et à me faire repérer par des gens, chercher à plaire à des inconnus, chercher l'amitié ailleurs Si on me pose pas de question, ça m'énerve, si on m'en pose, c'est encore pire, je réponds mal, violemment, insolente et méprisante. J'ai envie de taper, tout, gens, objets, murs...Surtout les gens en faite ! La psychologue de ma soeur a dit il y a quelques temps que je ne devais plus me confier à elle. J'ai pas le droit de lui raconter ma vie? Très bien, je ne lui dirais plus rien, ni à elle, ni aux autres, tant pis. Mais va falloir qu'elle s'attende à me voir très rapidement cette psychologue de mes deux ! Je craque vraiment, pétage de plomb, de nerfs, de tout ce qu'on voudra, c'est atroce, horrible, j'ai l'impression d'être possédée par le mal ! (je le réécris ici ^^)

Quelle merveilleuse période l'adolescence ^^

Les jeunes ont une certaine période où les nerfs lâchent très facilement, où ils en veulent toujours plus, où leurs excès de colère sont de plus en plus nombreux. Puis on a les petits boutons d’acnés qui surviennent. Les nouvelles joies de la vie. Les amourettes, les coups de foudre, les déprimes, les pleurs, les rires, les joies les peines. Enfin tous ces petits trucs qui engendrent beaucoup de problèmes. A notre âge on rêve de quelque chose de bien, on en veut toujours plus. On n’en a jamais assez. On veut faire comme les autres. On est en quête de popularité. On veut la gloire, on veut le bonheur. On vise le sommet. On se dit que tout est possible, que tout est vrai. Puis un jour on tombe. Une déception, une décision, une mauvaise nouvelle. Puis tout ce qu’on a voulu faire, tout ce qu’on a prouvé, tout ce qu’on a pu faire... Tout s’effondre. En une fraction de seconde. Puis on commence à déprimer, à s’évader. A devenir agressif, colérique, susceptible. On commence à fumer, à boire, à baiser, à se droguer. On fait tout un paquet de conneries pour oublier. Oublier le passé. Oublier les moments douloureux. Oublier ce qu’on a traversé. En effet, durant cette période assez longue, on cherche juste une destinée. Bienvenue dans une adolescence mouvementée.

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