POemes

Ode au G : Tes yeux brillent dans le noir Le G a froid Tes cheveux flottent au vent Le G tu es content Mouille la vie intense Sur les camps atrophiés Pourtant il me semble que je sens La mort corrompue sur l’Orphée Pourquoi la mouche du coche ? Ta mis un choux par la fenêtre Cacophonie de singe moche A qui est-il ce maître ? Pernico Ode au Jo : Amène ton oiseau volant Apporte moi l’orang-outang Sur la patate carnivore Le mange-merde adore Attrape la bulle narco-savon Et avance ta main de salon Revient en ces pas à tartine Mais puisque la rime abîme Les dents de Tiers sur qui moi Trop s’attarde à manger du foie ? Pernico Ode à moi : Je suis le soleil de ta nuit Qui triomphe du temps nocturne J’aime bien le pain de mie Mais pas avec des œufs durs Je marcherais tout droit Mais prendrais garde à toi J’aime la télévision américaine Et presque autant la japonaise. Johann aime mon poème de merde Si tu verras ta tête Pernico Tiens la cruche bien haute : Raisins aux pommes mangé par des chiens Coquilles hydrocéphales qui n’y peuvent rien Je suis là sur les boîtiers à bâton malvu Sur la terre, les pêcheurs c’est des poiles A jamais roupignolle rien ne sert L’hameçon et croquemort pour le sel de mer Par Zobmann Ode à Johann 2 : Tartampion mit une boîte sur le feu J’aime la confiture de vie Manger à part toi mais un petit peu Chronique surnéchroniste sur la mie Sur moi je prends D’arriver en hareng ? Par Energy Ode à « Monté à moi, ragouniasse » : Mélange émérite sur tartampion Choucroute œsophage hermaphrodite la vie Qu’est ce que le chien hétéro sur pion Anime le champs de cacahuètes sans pie Remarque le ketchup t’es drôle mais en rôle Grimace atrophiée en oreilles de choux-bus La grève ramène la paye qui est crawl L’épine dorsale tartare émus Table sur le crayon limé et bouché Toile en fonte des neiges seraient peu Sommes nous revenus chez moi en émeu Cheveux d’oreillers en règle aimé Ficelle sur une chaussure de cheminée Arboricole des insectes qui meurent Sous ta main-œuf remise en nez Truffé de mise en carton sur l’heure La vie mange mes noms, sur qui toi Meurt en lumière, je te sens avec pois ? Zobmann
ocinrep

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