Aujourd'hui, c'est décidé de chez décidé, c'est le dernier billet que j'écris dans ce blog avec le nom de Choopeta . J'en parlerai plus. Plus jamais. J'arrête de me bouffer la tête. Et comme dirait Marjolaine dans un des comms qu'elle a laissé sur mon blog : è_é
Choopeta ne veut toujours pas me parler ? Alors, je vais suivre vos conseils et arrêter de monopoliser mes neurones avec ça (Merci Sarah, I'm a little bee et Marjolaine. Vos comms m’ont remonté le moral ). Puis... ça commence tout doucement à sentir les exams, j'ai intérêt à utiliser toute ma tête avec les questions de Bio plutôt que les questions de Choopeta ; pourquoi elle fait-ci pourquoi elle dit ça. A partir d’aujourd’hui, j’arrête de l’espionner et je met mon nez dans mes cahiers. Faut garder la tête froide.
Ca me pourrit la vie cette histoire et je commence à croire que je pourris la vie de tout le monde. C'est complètement contagieux.
Hubert ne supporte plus que je lui en parle (« vos histoires de filles, hein ! »)
Ma mère prend ça complètement à la légère (« ça va passer, hein ! »)
Rachid me rit au nez chaque fois que je dis son nom (« t'es complètement maso, hein ! »)
Et vous, je sens que je vous prends aussi la tête avec cette histoire.
Donc, c'est fini de chez fini.
Terminé.
Je n'écrirai plus jamais son nom ici.
Je l'oublie.
Fin d'une amitié. Y a plus rien à en dire. Point final.
(mais c'est quand même moche, non ?)
Choopeta ne veut toujours pas me parler ? Alors, je vais suivre vos conseils et arrêter de monopoliser mes neurones avec ça (Merci Sarah, I'm a little bee et Marjolaine. Vos comms m’ont remonté le moral ). Puis... ça commence tout doucement à sentir les exams, j'ai intérêt à utiliser toute ma tête avec les questions de Bio plutôt que les questions de Choopeta ; pourquoi elle fait-ci pourquoi elle dit ça. A partir d’aujourd’hui, j’arrête de l’espionner et je met mon nez dans mes cahiers. Faut garder la tête froide.
Ca me pourrit la vie cette histoire et je commence à croire que je pourris la vie de tout le monde. C'est complètement contagieux.
Hubert ne supporte plus que je lui en parle (« vos histoires de filles, hein ! »)
Ma mère prend ça complètement à la légère (« ça va passer, hein ! »)
Rachid me rit au nez chaque fois que je dis son nom (« t'es complètement maso, hein ! »)
Et vous, je sens que je vous prends aussi la tête avec cette histoire.
Donc, c'est fini de chez fini.
Terminé.
Je n'écrirai plus jamais son nom ici.
Je l'oublie.
Fin d'une amitié. Y a plus rien à en dire. Point final.
(mais c'est quand même moche, non ?)