Waouw… je suis soufflée. Je comprends pas, je comprends pas…
Et au risque d'être prise pour une folle, une dinde, une andouille avec des fleurs plein les yeux,... j’ai très envie d’écrire ici aujourd’hui un petit mot à propos d’Elisabeth Fritzl .
J’ai été soufflée par ce qu’elle a fait cette semaine. Quand mwa, j’aurai envie de hurler, de crier, de griffer, de me jeter par terre, de maudire, de détruire, d’arracher des c…, elle, elle va trouver la force, je ne sais où, de voir encore le bon dans l’humain.
Je reprends ici les mots qu’elle a écrits et qui ont été affichés sur la place d’Amstetten, sa ville : « Nous, la famille réunie, souhaitons vous remercier de vous être préoccupé de notre sort. Votre compassion nous aide beaucoup à surmonter les difficultés. Elle nous montre qu'il existe aussi des Hommes bons et honnêtes. Nous espérons que le temps viendra où nous pourrons vivre une vie normale. » Ces mots avec le dessins des petites mains de ses enfants ont été placés au même endroit que les messages de soutien que les habitants de la ville lui avaient adressés. Comme une « réponse »… mais comment elle peut répondre ?
C’est super beau comme geste, c’est simple, c’est humain… simplement humain.
Mais, mwa, je trouve ça dingue… Comment elle fait pour encore voire le bon ? Mwa, je serai folle furieuse. Je ferai des dessins complètement noirs. Je ne pourrai pas être dans le tout positif… je voudrai faire mal. Plus mal encore.
La colère… la haine… la vengeance… tout ces sentiments ne l’habitent pas ? Elle ne peut pas les dire ? Elle ne peut pas les ressentir ? Les ressortir ?
Et au risque d'être prise pour une folle, une dinde, une andouille avec des fleurs plein les yeux,... j’ai très envie d’écrire ici aujourd’hui un petit mot à propos d’Elisabeth Fritzl .
J’ai été soufflée par ce qu’elle a fait cette semaine. Quand mwa, j’aurai envie de hurler, de crier, de griffer, de me jeter par terre, de maudire, de détruire, d’arracher des c…, elle, elle va trouver la force, je ne sais où, de voir encore le bon dans l’humain.
Je reprends ici les mots qu’elle a écrits et qui ont été affichés sur la place d’Amstetten, sa ville : « Nous, la famille réunie, souhaitons vous remercier de vous être préoccupé de notre sort. Votre compassion nous aide beaucoup à surmonter les difficultés. Elle nous montre qu'il existe aussi des Hommes bons et honnêtes. Nous espérons que le temps viendra où nous pourrons vivre une vie normale. » Ces mots avec le dessins des petites mains de ses enfants ont été placés au même endroit que les messages de soutien que les habitants de la ville lui avaient adressés. Comme une « réponse »… mais comment elle peut répondre ?
C’est super beau comme geste, c’est simple, c’est humain… simplement humain.
Mais, mwa, je trouve ça dingue… Comment elle fait pour encore voire le bon ? Mwa, je serai folle furieuse. Je ferai des dessins complètement noirs. Je ne pourrai pas être dans le tout positif… je voudrai faire mal. Plus mal encore.
La colère… la haine… la vengeance… tout ces sentiments ne l’habitent pas ? Elle ne peut pas les dire ? Elle ne peut pas les ressentir ? Les ressortir ?