Histoire que j'es inventer :) ( et donner votre franche avis déso pour les fautes. .

Il était une fois, un petit garçon nommé George, il habitait à New York dans une ville très déserte avec sa mère et son petit frère Léo. Sa mère était au chômage et ils n’avaient pas beaucoup d‘argent. Avant de mourir, le grand père de George lui donna son journal ou il avait marqué toute sa vie. On pouvait tout savoir même en lisant qu’une page. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Et tout a commencé le 18 juillet 2009. Ce soir là, la mère avait décider d’allez faire du ménage dans une école, ainsi ils pourraient vivres. Et pendant se temps là, George gardait son petit frère chez eux. Léo lisait un livre de science fiction et George faisait la cuisine. Il était très doués, en classe il étais premier. - Aujourd’hui, c’est soupe au haricots magique !! S’exclama George à Léo qui était couché par terre dans le salon, j’ai fais ma spéciale soupe du mercredi ! - BOF. . Moi je veux des pizzas !! Répond Léo, la soupe ses Beurk !!! - Je ne peux pas commander, j’ai pas de sous. . Et puis la mienne est très bonne ! - Bah tu paye demain, appelle les avec un téléphone ! - Écoute nous sommes pas riches, alors pas de téléphone !!!!!!! Crie George Il avait haussé le ton, tellement que Léo pleura et s’enfuie dans sa chambre. George n’aimait pas être méchant, mais parlait d’argent, c’était un cal vert. Surtout qu’il n’avait pas d’ami, on se moquait de lui pour ces habits, ces accessoires et pour le téléphone qu’il avait pas. Il posa dans la table le bol de soupe alla dans sa chambre. «  Cher Jorge, aujourd’hui maman est partis faire le ménage a l’école pendant que je faisais pleurais Léo. Se n’étais pas volontaire mais il m’énervais. Il voulait de la pizza, et je lui ai dit non. Il a dit d’appelais avec un téléphone que nous n’avons pas, et la je l’ai fait pleurais. . Comment faire pour ne plus avoir se genre de problème ? J’aimerais tellement être riche, et avoir un téléphone et un ordinateur . . Comme les garçons de ma classe. » Parfois, il avait l’impression que son grand père lui répondait. Et cette nuit, quand George dormait. Son grand père était dans ces esprits. Il lui disais : «  Aide ta mère ! Elle est toujours toute seule, avec son balais. . Si tu trouvait un travaille se serai moins compliqué, par exemple a la boulangerie, mais des travaux qui vaut le coup. Et tu doit être content de le faire. »