Coucou, je suis revenue d'Allemagne, et comme l'année dernière, c'était trop génial !!! *_*
J'ai la flemme de raconter tout ce qu'on a fait mais en gros, les soirées allemandes, c'est du lourd !
Le vendredi, comme c'était le dernier jour, y'avait pas mal à boire et les français, c'est bien connu, tiennent moins bien l'alcool que les allemands (LOL) :D. Bref, on était tous bien allumés. Y'a quelques "couples" qui se sont même formés, juste pour la soirée et moi, bourrée, j'ai rencontré les murs --'. Et y'a un gars qui est dans la classe d'amis à moi mais à qui j'avais jamais vraiment parlé qui a arrêté de boire pour faire attention à moi parce que il avait trop pitié xD
Donc, ce gars s'occupait de moi, et quand je me suis encore cognée, il m'a prise dans ses bras et on est restés comme ça un petit moment. A la fin, il m'a fait un petit kiss, sur les lèvres, je sais pas du tout si c'était conscient ou pas.
Le seul problème c'est que y'a pas qu'un problème.... Premièrement, il me plait mais sans plus. C'est à dire que j'envisage rien avec lui. Deuxièmement, l'autre gars qui me plait beaucoup, Valentin, qui est pas venu en voyage mais que je vais (enfin) revoir demain. Et troisièmement....Il est en couple --'
Et sa copine l'a su, je sais pas comment et donc il s'est fait engueulé de s'être occupé de moi (elle a pas su pour le bisou) donc j'étais trop mal parce que je savais pas.
Et dans le bus, il m'a proposé de se mettre avec lui à un trajet donc j'ai accepté. Au début, on parlait un peu de tout, en regardant un film pourri mais après, j'étais fatiguée donc j'ai essayé de dormir en me tournant dos à lui parce qu'il me faisait trop chier en me chatouillant les jambes. Donc il m'a prise dans ses bras, il m'a retournée et il a mis mes jambes sur lui ce qui fait que j'étais trop bien mise xD sauf qu'il faisait que de me regarder avec ses grand yeux bleus et ça me perturbais. J'ai fermé les yeux et je me suis endormie. Quand je me suis réveillée, il me regardait encore et j'avais ma tête sur son épaule et la sienne était contre la mienne. On est descendus manger et cette fois, c'est moi qui lui ai proposé de se mettre à côté de moi. Il a accepté et en retournant dans le bus, on s'est remis côte à côte. J'étais pas sur son épaule mais juste au dessus, contre son siège donc je voyais ses messages. Il parlait avec sa copine et quand j'ai lu, j'ai vu qu'elle parlait de moi "Gaëlle? C'est la salope avec qui t'étais hier soir?" Je l'ai regardé pour voir sa réaction, il m'a souris et il a éteins sont téléphone.
Moi: -Tu devrais lui répondre, elle risque de pas apprécier.
Lui:-Trop tard, j'ai éteins mon tel
Moi:-Rallume-le
Lui:-Nan elle me saoule cette fille, elle me casse les couilles
Moi:-C'est ta copine quand même...t'es trop méchant
Lui:-Quand mon téléphone est éteint, c'est comme si elle existait pas. Et puis de tout façon, sans te connaitre, elle te déteste déjà, quoi que je puisse dire.
Moi:-Elle me déteste!? Génial --'
Lui:-Ouais, elle a tendance à pas trop aimer les filles que je trouve mignonnes.
Je savais pas quoi répondre donc j'ai rien dit (enfin une bonne résolution !)
Je me suis rallongée et il a remis sa tête contre la mienne, il faisait que de me toucher, le nez, les joues, le front...Quand il s'est rendu compte que quand il soufflait dans mon cou ou qu'il touchait mes jambes ça me faisait des frissons partout, il s'est amusé à le faire tout le temps donc pour rigoler j'ai fait genre de changer de place, il m'a retenue par le ventre et il a dit "Nan, reste s'il te plait".
Donc après il me faisait un message de jambes et on parlait en mode collés-câlin et j'ai vraiment cru qu'il allait m'embrasser, parce que par moment il me relevait la tête, me regardait fixement dans les yeux, souriait, baissait les yeux, collait son front contre le mien, me caressait la joue. Je me demandais vraiment quoi faire, si je le laisse m'embrasser, si je lui rend son bisou, si j'esquive, si je l'arrête, si je lui rappelle qu'il a une copine...
Et puis au final, il m'a pas embrassée, on en est juste resté à se regarder dans les yeux, se rapprocher progressivement et à chaque fois, je reculais rapidement, comme un jeu.
Voilà, fallait que je le raconte.
Louloute au chocolat