Ma pathétique vie

en brouillard
Bonjour, ce que je m'apprête à vous raconter est quelque chose de très complexe pour moi, très éprouvant et très long. Je veux des avis constructifs, je compte vraiment sur vous. Si vous êtes encore là, je vous laisse lire ma triste histoire : Je suis une sportive de haut niveau. Jusqu'à présent, ma vie ne se consacrait qu'au sport, j'avais de bons résultats à l'école, je vivais seule avec ma mère qui est un peu atteinte mentalement, j'en bavais (aucune nouvelle de mon père, mais je ne m'en préoccupais pas). J'étais vide d'esprit, j'avais l'impression d'être un robot, et de vivre parce que je n'avais rien d'autre à faire. Plus le temps passait plus je me lassais de cette vie. Jusqu'à ce que je LE rencontre... J'étais à une compétition, le championnat de France pour être précise (c'est pas rien quand même). J'avais décidé que ce serait ma dernière compet, car j'en avais plus que marre d'avoir autant de pression venant de la part de ma mère et de mes entraîneurs. J'étais déprimée, la compétition s'est d'ailleurs très mal passée (j'ai perdu, mais c'était prévisible, je n'avais pas la motivation et la combativité nécessaires). Au moment de cette compet j'avais 14 ans. Puis, alors que j'étais en train de regarder des matchs avec mon coach et ma mère, un garçon que je n'avais jamais vue de ma vie s'est approché. Il connaissait mon entraîneur, et il l'a salué, puis il s'est tourné vers moi. J'étais tellement ailleurs que je n'avais pas vraiment fait attention (je pensais à mes défaites, à ce que je comptais faire de ma vie...). Soudainement, il s'est approché de moi, tellement prêt que j'ai cru qu'il allait m'embrasser. Je me suis soudainement reculée, et j'avais capté trop tard qu'il voulait simplement me faire la bise par politesse. Sauf que, j'étais tellement perdue dans mes pensées qu'il m'a en quelque sorte brutalement "sortie de mes songes". En temps normal je lui aurais naturellement fais aussi la bise. Sur le coup j'ai été très choquée parce que je ne le connaissais pas, donc je m'y attendais encore moins. Il est devenu rouge pivoine et il s'est barré en marche rapide, avec un ami à lui qui rigolait. Sur le coup je me suis sentie aussi hyper gênée. Je voulais le revoir pour lui présenter mes excuses. Je n'arrêtais plus de penser à lui, son visage ne quittait plus mon esprit, et plus les secondes passait plus je me disais qu'il était magnifique, et que je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi beau et attirant. Vous l'avez sans doute compris, j'ai eu le coup de foudre. Sauf qu'à ce moment, je ne m'en étais pas rendue compte. Je voulais le revoir. Je me suis donc renseignée au max sur lui, sur son nom, son prénom, son club, son niveau (il est dans les meilleurs espoirs français, un grand prodige). J'ai appris qu'il était déscolarisé pour se consacrer vraiment au haut-niveau. On m'a aussi dit qu'il était anormal, qu'il n'avait pas d'amis. Mais j'en avais clairement rien à foutre, je voulais juste le revoir, c'est tout. Et là j'ai compris que je l'aimais vraiment (c'était clairement devenu une obsession). Dès que je le voyais je l'espionnais (une vraie stalkeuse, je sais...). Puis j'ai finalement demandé à son partenaire de double que je ne connaissais pas son numéro, car je n'osais pas aller le voir en vrai, pas après le vent que je lui ai mis. Il me l'a gentiment donné, et j'ai commencé à envoyer pleins de messages du style "Coucou, on s'est vu à la compet, désolée pour le vent que je t'ai mis, mais j'ai littéralement eu le coup de foudre pour toi, je t'aime, je veux être la femme de ta vie". Que des trucs du style, et j'ai forcé car il ne répondait pas. J'avoue c'est clairement abusé, mais je m'en fichais complètement. Il habite loin, je n'avais rien à perdre. Il a fini par me répondre, mais il pensait que tout cela était une blague. Et au final il m'a enfin cru, et on a commencé à sympathiser. Il était vraiment gentil, je lui disais sans cesse que je l'aimais. On est devenu amis (à travers des messages certes, parce qu'on ne savait pas quand on se reverrait). Du coup j'ai continué mon sport, je n'ai pas arrêté. Ma vie s'était illuminée, et je faisais à nouveau de supers résultats. Après les messages, nous sommes passés aux appels téléphoniques, plusieurs heures à discuter, ensuite le Skype, les jeux d'internet ensemble... Se parler tous les jours était devenu quelque chose d'indispensable pour nous deux. J'étais aux anges, je ne demandais pas mieux ! Et puis finalement, au bout de moins d'un mois, il m'a avoué qu'il m'aimait. J'en ai pleuré, je ne savais pas que la vie était aussi belle. Nous attendions tous les deux impatiemment de nous voir en compétition. On s'est finalement vu au bout de 2 mois, sauf qu'il ne s'est absolument rien passé... Trop timides, on osait même pas se parler en vrai, j'étais ultra-triste, car j'avais vraiment envie d'être proche de lui. J'ai essayé de faire des efforts, mais il était trop tétanisé (alors qu'au téléphone et sur skype on était à l'aise). Donc résultat on ne s'est même pas calculés, et on s'est disputé. J'avais clairement les boules qu'il n'ait pas fais d'efforts. On s'est réconciliés par message, il m'a dit que la prochaine fois il prendrait sur lui, et il a pris l'excuse qu'il osait pas trop me parler devant ses potes de son club, donc j'en ai déduis qu'il avait honte de moi, même si il affirmait que non. Pourtant on avait prévu de se marier, d'avoir des enfants ensemble, on abusait vraiment à parler de notre avenir. Mais je n'avais jamais aimé quelqu'un comme lui, je voulais vraiment faire ma vie avec, du coup on est reparti de l'avant. Sauf que plus le temps passait, plus je le trouvais distant... Il avait changé, mais je n'avais pas compris pourquoi... (en réalité dans son club il était persécuté par son connard d'entraineur, et rabaissé, mais je ne savais rien de tout ça). Il n'a pas voulu m'inquiéter, ou alors il ne me faisait pas confiance.... Je ne sais pas... Quand on se voyait il me snobbait, et il finit finalement par ne plus répondre à mes appels, ni à mes messages... Je ne comprenais pas, je me remettais sans arrêt en question. Je pleurais sans cesse, j'avais envie de mourir, je le harcelais pour qu'il me donne des explications mais rien. Jusqu'au jour où il en a eu ras le bol et qu'il m'a écrit. Au début, j'étais contente et rassurée d'avoir enfin des nouvelles, mais quand j'ai lu ce qu'il avait écrit, j'avais clairement changé de couleur : "Arrête de me harceler, je ne t'aime pas. Je ne t'ai jamais aimé, il n'y a rien eu, pas de relation ni rien. Tu es juste folle. Arrête de t'inventer une vie". J'ai cru que c'était un cauchemars. Il m'avait aussi écrit que si je continuais de le harceler il me bloquerait. J'ai été en dépression, car je me suis rendue compte que sans lui ma vie n'avait pas de sens, que je n'étais plus rien... J'étais trop dépendante de lui... Je l'harcelais trop, parce que je l'aimais plus que tout au monde, je ne voyais que par lui, j'étais dans l'abus... Je suis tombée bien bas, car j'avais tellement peur de le perdre, je me faisais déjà du mal... Et là, je l'avais bel et bien perdu... Je n'arrivais pas à y croire, j'essayais de comprendre, comment avait-on pu en arriver là... Je m'étais persuadée que tout était de ma faute, mais en réalité il était aussi en dépression de son côté (à cause de ce que je vous ai raconté sur son entraîneur, et que ses amis de son club passait leur temps à le chambrer sur notre relation). Il avait peur du regard des autres, et il a choisi le regard des autres plutôt que moi.... J'étais devenue ingérable à la maison, plus personne ne me supportait, aux entrainements et à l'école. J'ai essayé de me suicider, mais en vain. J'ai vécu 1 an comme ça, dans l'horreur. Quand je le voyais en compétition, il m'ignorait complètement. J'ai aussi appris par les autres qu'il avait raconté à tout le monde que je m'étais inventée une vie avec lui, que j'étais complètement folle. Exactement ce qu'il m'avait dit... Ses derniers mots... Puis un jour j'en ai clairement eu marre qu'il ruine ma réputation comme ça juste pour se rendre intéressant auprès de ses "pseudos-amis" (lui qui a toujours été rejeté par le passé et qui n'avait personne). Je suis donc allée le voir, et je lui ai gueulé dessus d'arrêter, mais il s'est dégonflé et est parti le plus vite possible. J'étais clairement devenue folle pour le coup, j'avais complètement perdue le contrôle de moi-même, et ma raison. J'ai essayé petit à petit de l'oublier, de sortir avec d'autres garçons, mais cela s'est avéré être inutile. Résultat, j'ai brisé le coeur de certains, je n'étais pas du tout heureuse de faire ça, mais il me manquait trop. Je sais, je suis débile de m'accrocher à quelqu'un qui m'a détruite, mais je repensais à nos discussions lorsqu'on était ensemble, à ses promesses, son réconfort lorsque j'étais pas bien... Il avait illuminé ma vie, mais l'avait ensuite détruite. J'en viens même à penser qu'il aurait fallu que je ne le rencontre jamais, il n'aurait pas dû vouloir être poli en voulant me faire la bise... Avant il était ma raison de vivre, aujourd'hui il est ma raison de disparaître... Le voir était clairement devenu dangereux pour ma santé. J'aurais été prête à tuer pour lui les gens qui me gênaient, clairement... J'avais des envies de meurtres. Je vais abréger un peu, vous devez certainement un peu comprendre à présent la douleur que j'ai ressentie durant ces deux dernières années. J'ai vraiment essayé de passer à autre chose, et avec le temps ça allait un peu mieux. Son père, qui m'adorait, me disait sans cesse que son fils avait grandi et changé. J'aurais aimé le croire, mais je restais quand même sur mes gardes, car je ne voulais plus souffrir... Sauf que, cette année, j'ai fais une compétition avec lui et d'autres amis. J'appréhendais beaucoup ce moment. J'avais peur, mais vu que dans ma tête j'étais devenue bien plus forte, je me disais que je l'ignorerais tout simplement, comme on a toujours fais... Il avait bel et bien grandi, cela faisait 1 an que je ne l'avais pas revu. Il était encore plus beau. Il semblait mature. J'étais choquée, car devant les autres il me parlait comme si de rien n'étais, et pour ne pas plomber l'ambiance j'ai fais de même. Les autres essayaient de nous caser tous les deux, mais j'étais assez distante. Sauf qu'on ne m'a pas arrangé la tâche. Je devais dormir 2 nuits avec lui dans le même lit, pas d'autres choix... Le lit était petit, un lit simple... J'étais très perplexe, et assez stressée. La compétition s'est bien passée, on est rentré tard, et on s'est couché. On a parlé, de tout et de rien. J'avoue, c'est du n'importe quoi. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai lancé le sujet : "Pourquoi tu m'as fais autant souffrir, je t'aimais vraiment, tu t'es menti à toi-même en t'auto-persuadant qu'il n'y avait jamais rien eu entre nous, tu m'as trahie, insultée dans mon dos"... Il m'a serré dans ses bras et s'est excusé. Il nié pas mal de choses, il avait laissé pas mal de sous-entendu comme quoi il m'aimait encore. Je n'avais jamais été proche de lui comme ça, les sentiments ont repris le dessus, on s'est embrassé (pour la première fois). J'avais rêvé de ce moment depuis déjà 2 ans, je me fichais de tout ce qu'il m'avait fait, je voulais vivre le moment présent. On a fait une nuit blanche, on était à moitié shooté à cause de la fatigue. Il voulait qu'on couche ensemble, mais j'ai refusé, car j'avais malgré tout une petite part de raison en moi. La deuxième nuit s'est aussi bien passée, on a fait des choses, mais j'ai refusé de coucher une fois de plus, car je savais que tout ce qu'il se passait ce n'était pas net, qu'il avait dès le début quelque chose derrière la tête. J'ai juste voulu me faire plaisir raisonnablement, pour pas le regretter par la suite. Je ne comprenais malgré tout pas comment il a pu autant changer, le garçon si timide qu'il était il y a deux ans qui n'osait pas me regarder dans les yeux devenu aussi entreprenant et assez cochon... (Il n'a pas eu de relations entre temps pourtant, info sûre). Il a voulu qu'on garde contact, qu'on reprenne tout depuis le début. J'ai voulu le croire, même si je savais au fond que c'était voué à l'échec, et qu'il a certainement voulu profiter de moi... On s'est revu à une compet, et là, j'ai vraiment pété un câble... Il m'avait dit qu'il viendrait me rendre visite le soir à l'hôtel, et lorsque je lui ai envoyé le numéro de ma chambre le soir, il m'a répondu un simple "cool" et n'est pas venu. Il s'est encore (une fois de plus) foutu de ma gueule. Le lendemain, j'suis allée le voir, d'un pas déterminé, et je l'ai giflé. Devant tout le monde, ses hypocrites d'amis inutiles. Et j'ai lâché d'un ton sec "C'est tout ce que tu mérites". Et je suis partie. Je m'attendais à ce qu'il riposte, mais non, il n'a rien fait. J'aurai dû faire ça plus tôt même, une gifle ce n'était même pas suffisant. Une ordure, j'avais la haine. Il m'a écrit des messages, aussi hypocrites que lui. Comme quoi c'était lui la victime et moi la méchante, bref... Il parlait de notre relation comme si c'était vide, comme si on lui avait effacé la mémoire. Lui pardonner était inutile, mais j'en avais ras le bol de me prendre la tête... C'était pas une vie ça... Je lui répondais, mais sans plus... Et il m'a lâché, pour des amis virtuels cette fois. Hahaha... Je l'ai envoyé chier, lui et ses amis de merde... On ne s'est pas parlé durant 3 mois. La haine avait pris le dessus sur l'amour. Je ne ressentais presque que du dégoût pour lui. Son père était dégoûté lorsque je lui ai dis que je ne voulais plus rien faire avec son fils, mais il m'a dit qu'il me soutenait et que son fils le regretterait plus tard (il n'est pas au courant de ce qu'il s'est passé mais il sait que j'ai été très affectée). J'ai revu ce "roi des connards" à une compet en septembre. Je le snobbais, et un gars de son club est venu me voir, en me disant qu'il voulait me parler en privé (il envoie un gosse pour me transmettre le message, preuve de sa pathétique lâcheté). J'ai répondu au gamin que je n'avais rien à dire et que je ne comptais pas discuter, donc en gros il n'y a pas eu de discussion. Mais j'ai regretté. Parce que malgré cette haine, je l'aime. Je suis conne. J'ai eu un accident de voiture, je suis ressortie indemne, mais j'aurai tellement aimé disparaître à jamais. La semaine dernière je suis allée chez lui pour que son père m'entraîne (il n'était pas là, heureusement). Ca s'est bien passé, toute sa famille m'adore, et je les adore aussi... J'ai beau le haïr, l'amour que j'ai pour lui ne s'en va pas. Je ne sais pas quoi faire... Bientôt 3 ans que cela dure. J'envisage de lui envoyer un message avant la fin de l'année. Je ne sais même pas ce que je lui dirai. Cela ne sert à rien. Mais je le veux. Quitte à souffrir, autant qu'il soit avec moi. Je sais, je suis ridicule. Je n'ai jamais demandé à naître, ni à être amoureuse de lui. Vous l'avez vu, j'ai tout fait pour l'oublier, mais malgré les années qui passent rien ne changent. Et je ne serai certainement jamais heureuse avec un gars comme lui, parce que je ne pourrais plus jamais lui faire confiance, mais c'est comme ça... Dans la vie il y a des choses qu'on ne contrôle pas... Mon existence est-elle même vouée à l'échec, car je m'accroche à quelqu'un que je n'ai pas le droit d'avoir. L'envie de mourir me vient souvent à l'esprit, et il m'arrive parfois de me mutiler. Voilà comment ma vie a été pourrie. Qui sait combien de temps il me reste encore... Malade de l'amour.
DeadCorpse

Commentaires

Je n´est pas grand chose à te dire mais sache qu'il ne faut jamais perdre espoir et n'oublie jamais,au grand jamais que sans larmes il n'y aurais jamais d'arc-en-ciel !!!!

Tu ne eux pas être amoureuse d'un garçon comme lui. Tu ne DOIS pas. Essaye de te détacher de cette situation. Rend la chose platonique, dis toi que l'amour ce n'est qu'une question d'hormones que c'est ton cerveau qui te fait croire ces choses à cause des hormooones, pas toi. Tu devrais te détacher de lui dans tout les sens du terme. Tu aimes sa famille ? Et bien il vaut mieux que tu te fasses violence et que tu les évites pdt un temps. Sors, amuse toi, inscris toi même à un nouveau sport (tu peux très bien changer de discipline mais surtout, surtout n'abandonne jamais tes rêves et tes convictions pour quelqu'un et surtout pas pour un garçon). Il a trop essayé de profiter de toi c'est mal. Il est mauvais pour toi et pour quiconque il rencontrera. J'espère qu'il comprendra vraiment ce qu'il t'a fait ressentir un jour. Et pourquoi pas qu'il lui arrive pareil ? Brref sache qu'une femme a autant besoin d'un homme dans sa vie, qu'un poisson d'une bicyclette. Ne laisse pas ta capacité d'être heureuse dans les mains d'une personne autre que toi. Apprend à te suffire à toi même, tu dois être ta seule "maison". Tu n'as besoin de personne, tu es forte, et si tu ne l'es pas assez maintenant tu le deviendras, à toi de décider quand.

Tu ne eux pas être amoureuse d'un garçon comme lui. Tu ne DOIS pas. Essaye de te détacher de cette situation. Rend la chose platonique, dis toi que l'amour ce n'est qu'une question d'hormones que c'est ton cerveau qui te fait croire ces choses à cause des hormooones, pas toi. Tu devrais te détacher de lui dans tout les sens du terme. Tu aimes sa famille ? Et bien il vaut mieux que tu te fasses violence et que tu les évites pdt un temps. Sors, amuse toi, inscris toi même à un nouveau sport (tu peux très bien changer de discipline mais surtout, surtout n'abandonne jamais tes rêves et tes convictions pour quelqu'un et surtout pas pour un garçon). Il a trop essayé de profiter de toi c'est mal. Il est mauvais pour toi et pour quiconque il rencontrera. J'espère qu'il comprendra vraiment ce qu'il t'a fait ressentir un jour. Et pourquoi pas qu'il lui arrive pareil ? Brref sache qu'une femme a autant besoin d'un homme dans sa vie, qu'un poisson d'une bicyclette. Ne laisse pas ta capacité d'être heureuse dans les mains d'une personne autre que toi. Apprend à te suffire à toi même, tu dois être ta seule "maison". Tu n'as besoin de personne, tu es forte, et si tu ne l'es pas assez maintenant tu le deviendras, à toi de décider quand.

Je te rejoins sur le fait qu'elle ne mérite pas un garçon comme sa mais par contre TOUT LE MONDE A BESOIN DE QQ DANS LA VIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

oui, sa mère. Non je rigole, en vrai je parlais de dépendance, pas de besoin (de se confier par exemple). Se retrouver seul, sans personnes pour te soutenir ne doit pas être suffisant pour te détruire, c'est toujours mieux d'avoir quelqu'un mais ça ne devrait pas être nécessaire. On doit apprendre dans la vie à être indépendant. On ne sait jamais ce qui peut arriver, le réconfort qu'on cherche chez les autres il fait d'abord essayer de le trouver en soi

Merci pour vos avis

Je sais que cela fait maintenant 1 ans que tu  as écrit ça mais je voulais quand même te donner mon avis. Honnêtement, ce garçon là n'en vaux pas la peine. Ce qu'il t'as fait n'est pas correct et tu ne devrais pas te rabaisser pour un connard comme lui. Tu dois repenser à ce qu'il t'a dit et utiliser cette rage pour passer par dessus. Vas parler à quelqu'un de confiance pour t'aider. Tu as autant de valeur que n'importe quel être humain sur cette terre et cet imbécile ne le voit juste pas. Fais toi confiance et avance dans t'as vie, car il y a toujours une étoile plus brillante dans le ciel qui nous permet d'avancer. Je te souhaite réellement du bonheur et d'être heureuse avec quelqu'un qui te respect.

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