Quinze heures du mat, tu pousses le son,
Tu fais des pompes et des tractions.
Tu repenses aux cris de ta victime, coup d'cross et séquestration,
Tu sors de chez toi, tu hagar les petits, pour des histoires de serrage de mains.
Tu réclames le respect partout alors que toi, tu respectes rien.
Tu mènes ta vie au jour le jour, sans même penser à demain,
Tu cries partout que tu fais tout pour eux mais tu vas jamais voir les tiens
Et là les petits reviennent, casque, bécane,
Nhen sheitan, chahed, rafale,
Tu combats le mal par le mal,
Tu vis par les balles, tu meurs par les balles