C’est toujours ces mêmes sourires désespère que je vois m’approcher. C’est toujours ces quelques mots, oublié, qui cherche l’aide. L’aide d’un enfant naïve. Une aide si facile à prendre. Qui ne demande rien. C’est toujours ces mêmes mots de tristesse qui me fond souffrir. Toujours ces même pensée qui reviennent. Toujours les quelque larmes garder au fond des yeux qu’on empêche de tomber. Toujours cette boule dans la gorge, qui nous oblige a pleuré, pleuré de peur. Peur de demain. Peur d’après. Peur de peut-être. C’est toujours les mêmes lignes. Les mêmes traits. Les mêmes souffrances. C’est toujours le même chagrin. C’est toujours le même chagrin qui revient…
