Etre belle-mère

Ben voilà, je suis une belle-mère! C'est à dire que mon amoureux a des enfants (moi aussi d'un premier mariage) et cela ne se passe pas tous les jours très bien. Je me sens toujours nulle lorsque je propose des trucs à mes beaux-enfants et j'en arrive à fuire de la maison lorsqu'ils sont là tellement je me sens mal. J'ai le sentiment d'être très pouf, très bête, très méchante et surtout d'être de trop dans leur vie. J'aimerais avoir des réponses de jeunes qui vivent (ou ont vécu)cette situation pour pouvoir être la plus adéquate possible. Est-ce qu'être une mâratre est lié avec les fait d'être à éliminer?



Marcelle

Marcelle

Commentaires

Fais la grève!!!! Tout ce que les filles devraient faire, laisse le : ton conjoint finira-t-il par s'en rendre compte?. Et ne fais rien non plus pour elles pendant une semaine. (La semaine blanche, un conseil vu sur de nombreux blogs de belle mères).

Que ça fait du bien de ne plus se sentir seul à vivre cette situation !!! Dans mon cas j'ai connue mon copain quand on avait 16ans, il a était mon première amour. Mais notre jeunesse nous a séparé après deux ans de relation ... Maintenant, 8 ans plus tard, nous nous somme retrouve. J'ai 25 ans et je me trouvais trop jeune jusqu’à présent, pour avoir un enfant. Je voulais encore profité de ma "liberté" pour voyager, sortir, voir mes amis, aller au ciné, restau, ect... Il à fait le choix d'avoir un enfant "jeune" avec une femme avec qui il ne se voyait pas toute sa vie (d’après ses propres mots)... Cela fait bientôt un ans que nous nous sommes remis en couple. Il à un petit garçon de bientôt 4 ans. J'aurai voulu l'aimer, et que notre vie se passe pour le mieux à tout les quatre. Au début tout ce passé bien, sauf quelques nuits qui étaient agité, et puis quand on a aménagé ensemble tout c'est dégradé... J'ai fait des efforts et beaucoup de sacrifices pour cet enfant qui n'est pas le miens... Malheureusement nous l'avons une semaine sur deux, et quand le petit est là, notre couple en souffre. Le petit est, ce que je qualifirer d'enfant "roi". D’après son père, chez sa mère il à tout ce qu'il veut à outrance, et les punitions n'existe pas... Ce que je constate moi, c'est que quand il est chez nous, ce petit garçon est capricieux, tout le temps coller à son père, on ne peut pas avoir une discution sans être interrompu et même se prendre dans les bras n'est pas possible... il mange des tonnes de bonbons et de sucrerie (excessivement pour son age de mon point de vue), il se bat souvent alors que c'est sa première année d'école (mais évidement ce n'est pas de sa faute c'est la maitresse qui raconte n'importe quoi ...), il passe toute la journée avec sa sucette dans la bouche, il n'est toujours pas propre, il n'écoute pas ce qu'on lui dit ou les règles que son papa lui impose (c'est le père qui fini toujours par céder à l'enfant), il se moque des adultes devant tout le monde sans que son père ne réagisse, il ne fait toujours pas ses nuits (si on dort 5h dans la nuit c'est bien) et j'en passe... Quand j'en parle à mon copain soit il me dit "c'est un enfant c'est normal" ou alors il me sort des choses du genre "tu es trop strict", "moi aussi je faisait des caprices quand j’étais petit et je ne suis pas une mauvaise personne maintenant"... Au final j'ai l'impression de toujours passer pour la méchante, et quand j'essaye moi d'intervenir à un caprice ou quand le petit désobéit à son père, il me répond "allé c'est bon" et donne raison a son fils... J'ai l'impression de ne pas avoir ma place et de juste être la pour subir cette situation... Comme certaines l'on dit dans les commentaires précédent, je fait office de plante verte quand son fils est là, je ne dit rien et je subit tout de même ses caprices ses cris ect. Je n'ai pas d'enfants mais je me retrouve à en avoir un avec tout les inconvénients sans aucun avantage. Le petit me snob H24 quand j'essaye d'aller vers lui, et quand j'en parle à son père il me répond "c'est normal c'est un enfant"... Mais d’après moi, à 4 ans un enfant comprend quand on s'adresse à lui, et comprend ce qu'on lui dit non ?!? Mes amis ne veulent même plus trop venir à l'appartement car le petit les saoulent... Je me retrouve maintenant seul à devoir affronter tout ça, des questions pleins la tête... Au mois de septembre j'ai fait une fausse couche car on voulais avoir un enfant avec mon copain. Même pendant ma fausse couche, mon copain n'a pas su calmer son fils, et le laisser encore venir dormir avec nous dans notre lit, c'était donc moi qui finissait par aller dormir sur le canapé... depuis j'ai peur d'avoir un enfant avec lui quand je vois comment est son fils... sans vouloir être méchante, il m'a dégouté d'en avoir. J'en suis même arrivé à avoir la boule au ventre toute les deux semaines à me dire "le petit va débarquer" et à devoir prendre des somnifères pour m'endormir quand il est la, car je suis arrivé à un stade ou son enfant me stresse et m'angoisse. Je me pose beaucoup de questions, notamment sur comment j'envisage mon couple avec mon copain plus tard ... J'ai peur que si un jour on ai un enfant ensemble son fils nous mène la vie encore plus dur, ou de ne plus pouvoir dormir du tout entre un nourrisson et son fils. J'ai aussi peur de reporter tout le manque d'affection que j'ai quand ce petit garçon est là, sur l'enfant que je pourrait avoir avec mon copain... j'ai beau essayer d'en parler avec mon copain soit il me dit oui je sais et il ne fait rien, soit il se vexe quand je lui demande d'agir et me dit que c'est facile de dire et de critiquer quand on a pas d'enfant ... (prend toi ça dans les dents...) j'arrive au bout de mes capacités à tout encaisser et pourtant je suis quelqu'un de patiente d'habitude... Je ne veux pas perdre l'homme que j'aime mais je n'arrive plus à savoir comment m'y prendre ou quoi lui dire pour qu'il réagisse. j'ai besoin d'aide ...

Oulala, je suis hyper choquée de cette phrase : "c'est facile de dire et de critiquer quand on a pas d'enfant ... ". Tu as un beau-fils !!! donc, oui tu as un enfant !!!! je constate que ton copain ne te considère pas comme co-parent, que ton avis ne compte pas : donc pour le futur enfant, tu peux en effet être inquiète ! Papa ne joue pas son rôle de parent. "C'est normal c'est un enfant" : ça c'est facile à dire !!! Quand il rentrera bourré, ou drogué à 14 ans, il te dira "c'est normal, c'est un ado " ????? On rêve ! Tu vis aussi dans cette maison : si c'est infernal pour toi, tu dois prendre ta place et le dire ! Explique lui que tu aimerais que votre futur enfant soi comme ci ou comme ça, décris ce que tu entrevois comme modèle d'éducation en général. Que tu vois bien que c'est un enfant mais que tu souffres de cette situation car tu te sens seule. Ce n'est pas ton enfant c'est vrai, mais tu aimerais que vous formiez une vraie nouvelle famille et que tu as besoin qu'il prenne en compte ton avis pour que ça marche. Bon courage ! Je peux te dire que si le papa fait son job de papa, ça peut marcher !

Holà, hello, tombée sur ce fil en cherchant des infos sur les "parâtres" : en effet, je suis maman d'une petiote de 5 ans. Séparée de son papa depuis ses deux ans, je me suis remise en couple avec un homme qui n'a pas d'enfants. Nous sommes ensemble depuis deux ans... et les "problèmes" liés à l'éducation de la puce qui est en garde alternée à raison d'une semaine sur deux chez son père et moi ont toujours existé... et existeront toujours, je pense. Un peu plus haut dans le fil, quelqu'un conseillait la lecture du texte suivant : http://www.yapaka.be/livre/la-souffrance-des-maratres. Je l'ai débuté et il me semble en effet pertinent. Etant dans la position de mère et non de "marâtre, je dirais ceci : il est terrible en effet de voir un(e) autre affirmer son mode d'autorité, généralement différent du nôtre, sur ce "bébé" (même ado, notre enfant reste notre petit bout, non ?) que nous avons dû à la fois protéger du monde et l'ouvrir à celui-ci. Autorité souvent plus "carrée", en opposition directe, qui semble finalement générer plus de conflits qu'apaiser ceux-ci. Alors que faire ? Sans prétendre détenir la solution (sinon je n'eûs pas été là à chercher de l'info ;-)), je dirais en tout qu'à qu'il est fondamental que le parent reconnaisse le droit à l'éducation de ses enfants de la part de son conjoint, même si celui-ci n'est pas la mère (le père) de l'enfant. C'est fondamental et nécessitera beaucoup de discussions (hors présence des enfants), sans qu'aucune des deux parties ne victimise (généralement les femmes, faut en convenir : je fais TOUT pour eux, ils me DETESTENT, je ne suis qu'une bonne à tout faire, etc. etc. ). Les parents d'un ou plusieurs enfants élevant toujours ensemble leur(s) enfant(s) sont eux-mêmes confrontés à cette réalité : combien de couples n'ai-je pas entendu dire que leurs disputes les plus récurrentes tournaient autour des enfants. Dès lors que ce droit à l'autorité est rétabli entre les deux partenaires, une situation déjà plus "standard" s'instaure. Quant à la méchanceté des enfants à l'encontre de leurs beaux-parents, que dire ? J'ai toujours dit à mon père que s'il avait quitté ma mère pour une autre, j'aurais rendu la vie purement impossible à celle-ci, bouc émissaire de l'échec de leur couple. Mais il est évident que le père/la mère doit être solidaire de sa nouvelle compagne/de son nouveau compagnon. Faute de quoi il faudra peut-être songer à lui proposer de consulter un ou une spécialiste de la thérapie familiale pour ouvrir des pistes de discussion et de compréhension mutuelle. Seul ou en couple. Une chose est sûre : ce n'est facile pour personne et garder la souffrance de l'autre à l'esprit, même s'il semble manipulateur, grossier, "mal élevé" peut aider aussi, je pense. Courage à toutes et tous en tous cas : il est beau, mais tortueux et parfois douloureux, le chemin de la famille.

Bonsoir à toutes et à tous, J'ai lu une bonne partie des commentaires ici, mais pas tous... Je me suis séparée de mon conjoint il y a 2 mois, à "cause de ses enfants", selon lui. De ce que je constate et de ce que j'ai pu vivre, je comprends que bien souvent le "problème" si je puis dire, ce ne sont pas les enfants, mais les adultes. Je n'ai pas d'enfant, j'aurais pu, mais enceinte de mon ancien fiancé, papa de 2 jumeaux (garçons) de 8 ans aujourd'hui, je m'étais dit qu'il valait déjà mieux assurer avec ceux en vie avant d'en mettre un autre au monde. C'est une décision que j'ai énormément regretté, mais c'est fait. Je vous donne mon avis, les adultes sont des égoïstes. Mettre des enfants au monde, les loger, les nourrir et leur offrir de la consommation, ne font pas de la part de beaucoup d'adultes, des parents. Très loin de là.. S'il vous plait, arrêtons de considérer les enfants comme notre possession. Ce sont des êtres censés grandir, s'épanouir, être équilibrés.. Voler de leur propre ailes. C'est ça l'amour et l'éducation (à mon sens). A toutes ces mere, jalouse que leur enfant échappe a leur emprise, à tous ces pères qui passent leur temps a soit disant culpabiliser et rester les bras croisés.. Quant aux grands parents, on en parle peu, mais dans les séparations avec des enfants, ils jouent un rôle important et outre passe leur position de grand parents en pensant se substituer au père ou à la mère. Quant aux "belles mères" je n'aime pas ce terme, si votre conjoint ne sait pas mettre les choses au clair (avec ses enfants, la mère des enfants, l'entourage...), il ne le fera jamais, même si vous mettez au monde un autre enfant. Je n'ai pas la solution. Je pense juste qu'il serait temps d'arrêter de considérer les enfants et les gens comme notre possession. J'ai 31 ans, ma mère est décédée il y a 3 ans et je suis bien placée pour penser que : 1/ une mère on en a qu'une pas de doute et bcp de "belle mère" le savent, étant elles même fille d'une mère et 2/ que notre devoir d'adulte est d'éduquer et armer les enfants pour l'avenir. Donc les enfants subissent les guerres de pouvoir des adultes et avec le temps ils le comprennent et ils en jouent... La responsabilité incombe aux adultes. Bon courage à toutes les belles mères, qui doivent faire preuve d'une grande ouverture d'esprit. S'occuper des enfants qui ne sont pas les siens est très ingrat. On demande aux belles mères de prendre les responsabilités que les parents ne prennent pas toujours et c'est sur elles que retombent toutes les fautes. Pour ma part c'est une situation que j'ai vécu pendant 2 ans et Plus JAMAIS. Pas à cause des enfants je le redis, à cause des adultes. Personnellement j'ai mal au cœur pour ces enfants, je ne sais pas comment ils peuvent grandir sereinement et un jour devenir de bons parents eux même.. S'il vous plait, arrêtons de faire des enfants trop rapidement. Un être humain ce n'est pas un jouet que l'on balance d'un foyer à l'autre... Bon courage à toutes et à tous. Pensons à l'avenir de "l'humanité" et des enfants, plutôt qu'à nos intérêts personnels..

Bonjour Johanna,

Votre commentaire me touche et je trouve que vous avez fait le bon choix des mots pour exprimer ce que beaucoup de femmes mariées à un homme qui a des enfants ressentent.

La possession, c'est vraiment cela le fond du problème.
L'amour est tout le contraire ; mon point de vue.

Je pense que ces parents qui se séparent n'arrivent pas à faire le deuil de la famille "idéale" qu'ils avaient projeté d'où ce sentiment de culpabilité permanent (nié, inavoué, honteux...).

Pour info, je suis divorcée depuis 1996 et ai proposé à mes 2 garçons âgés maintenant de 25 et 21 ans, une éducation (certainement pas la meilleure) basée sur la découverte, la curiosité, la confiance par principe, le lâcher prise, la gestion de la frustration, sans oublier d'être une femme avec son jardin secret.

Cela me désole de voir combien vous avez raison d'écrire qu'il faut arrêter de prendre les enfants pour des adultes en miniature en les stigmatisant, les incitant à devenir des égoïstes frustrés incapables d'affronter l'adversité de la vie.

C'est bien connu, la culpabilité paralyse, empêche de s'ouvrir, de lâcher prise, d'avancer...

Coucou je voudrais votre avis mais je sais que je vais passer pour un monstre et que personne ne comprendra. Je suis depuis un an avec mon ami papa d'une fille de 9 an que j'adore et avec qui ça passe tres bien. Je l'accepte et la considère comme ma fille. Au bout de quelques mois alors que nous ne vivions pas en couple la "meilleure amie" de mon conjoint m'a appelé pour m'annoncer qu'ils vivaient ensemble mais n'etaient plus ensemble et que sa fille était aussi la fille de mon conioint, il ne l'a pas voulu ne l'acceptais pas mais l'a reconnu. Il est venu vivre chez moi en me disant qu'il ne voulait plus en entendre parler qu'il n'irai plus. Nous avons fait notre vie décidé de faire un enfant. Lettre du tribunal... Il a été convoqué pour la voir une fois tt les 15 jours et faire 6 h de route pour passer du tps avec la petite et son ex. la mère ne veut pas que je fasse partie de leur vie pense que c'est moi qui l'a empêché d'aller voir cette petite. Aujourd'hui je suis enceinte, je ne veux plus qu'il aille la voir ni en entendre parler cela me brise le coeur et me rapelle sa trahison et j'ai d'autant plus de mal que personne ds ma famille ne sais son existence et que la mère de la petite m'a harcelée rabaissée... Je ne sais plus quoi faire il vit mal de ne pas voir cette petite mais je sais que tt ca n'est pas conciliable avec notre vie de couple et notre enfant.

Bonjour, Je n'ai pas très bien compris.. Combien à d'enfant ce papa modèle ? 2 ou 3 (en comptant celui que vous portez) ?

bojour cela fait 2 ans que je vie avec un pere et ca fille de 6 ans tous ce passé a peu prés bien et depuis quelque mois la petite qui est de nature trés maligne mene son pere par le bout du nez je lui est dit mais il me repond que c'est moi ...que je devrais lui ceder un peu plus... le probleme c'est quel est menteuse, sournoise, mal polie .j'ai l'impression de ne servire que de bouche trou . je m'en suit occupé comme si c'etait la mienne . et ca suffit pas ce matin je suis partie et j'ai meme pas l'impression qu'il reagisse . pensez vous qu'un pere puisse ouvrir les yeux sur son enfant

Bonjour, je ne sais pas si l'avi d'une fille de 12 ans 1/2 vous interresse mais j'ai un beau pere, et le probleme c'est que ni moi, ni lui n'osont aller parler à l'autre, donc vous devriez essayé de parler aux enfants pour voir ce qui ne va pas chez vous pour essayé de vous améliorer, et aussi n'ésitez pas à montrer que vous les aimés biens et tout irra bien.

Après, moi je pense que c'est ce qui m'irait, mais tous les enfants ne sont pas pareils et, sans vouloir parraitre égoïste, j'ai bénéficiée d'une très bonne éducation.

En éspérant que mon conseil vous aura servit.

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