La torture des frères, des soeurs

J'avais pas envie de les garder, alors comme à chaque fois qu'on me demande de rendre service, je deviens la reine du "je ne veux pas". J'ai d'abord dis oui, histoire de me montrer conciliante, ne pas faire l'enfant gâté, qui a trop de choses à faire, qui médit sur ses frères et soeurs. Puis par un tour du destin, j'ai réussi à tourner la situation à mon avantage à savoir "oh, je suis désolée, j'ai cours à ce moment là". Vrai de vrai, j'avais vraiment quelque chose à faire. Alors on peut dire que ma journée a bien commencé, puisqu'en moins de deux minutes, je suis passée de la morosité la plus noire à l'extase de me sentir libre de toute contrainte. Une bonne fin de semaine en somme
Monette

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