Pensées sans fin...

Je suis de celles qui disent qu'ils ne faut dire ce que l'on ne peut dire sans en comprendre la dérision. Rester dans son univers idyllique en s'imaginant qu'ailleurs il n'y a rien de mieux. Se blottir dans les bras de la mère morte en se demandant si c'est un rêve ou la réalité trans-dimensionnelle de notre esprit qui flotte tel un fière destrier galopant à l'ombre d'une douce mélancolie. Fuyons, Fuyons ces pauvres regards vides et pernicieux qui essayent de nous assombrir. C’est le cœur de notre vie, c'est notre ombre qui se matérialise en un être dans lequel on croit se reconnaître tout cela pour éviter en fait la triste réalité de ce que nous sommes....

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