Je suis vraiment pas bien dans ma petite tête d'andouille !!!

Mais pourquoi ne m'as tu rien dis ??? :'( Je te voyais râler, et je me disais bien que c'était à cause de moi ! Te voir souffrir comme ça me fais de plus en plus de mal mais, plus les jours passent, plus je te vois te faire du mal, mais aussi je me rapproche de lui et chaque jour j'ai un peu plus de mal à le quitter, après les cours. Si tu me l'avais dis tout de suite, j'aurais pu (ou essayé) d'arrêter ça ! Je t'ai déjà dis que je ne voulais pas ta place ! Sa bonne amie me suffis amplement ! M'entendre avec les garçons a toujours été simple pour moi, car j'aime les même choses qu'eux en règle général et j'aime aussi les choses de filles (excepté le maquillage !) ce qui fais que je suis posée entre les deux et que ma communication avec tout le monde est d'autant plus facile. Mais je te le dis tout de suite, tout ne vas pas bien, et j'aurais beau taper dans les mains, ça ne changera rien. Nous sommes nombreux à avoir des problèmes, mais nous avons souvent l'impression que nos vies sont plus compliquées que celle des autres, autour de nous. Je n'ai pas peur de rien, crois moi ! J'ai toujours peur de faire un pas de travers et, du même coup, vous perdre, toi, les filles et G... . J'ai toujours eu peur de beaucoup de choses, mais elles m'ont fait avancées ! ''Ce qui ne nous tue pas nous rends plus forts'' : j'ai toujours eu horreur de cette phrase mais je dois bien admettre qu'elle n'est pas erronée... Je sais bien que des sentiments sont durs à effacer, il m'aura fallu 13 ans de pratique pour y arriver, mais il a réussit à percer mon bouclier, et ça faisait longtemps que je n'avais plus agit comme ça avec un garçon. Je peux parfaitement comprendre que tu sois jalouse, mais, la prochaine fois, dis le moi (ça m'évitera de me faire des idées), s'il te plaît. Suite à Buzenol, nous avons tous changé : - Toi, cette histoire par rapport à E... - M..., j'ai parfois l'impression qu'elle jugent les gens sur leur physique, ce qu'elle ne faisait jamais avant. - G..., est devenu plus sympa avec moi (mais ça aura mis le temps qu'il aura fallu) - À ce qu'il paraît, je suis devenue plus directe. - E..., est devenu plus ouvert. (et je n'ai pas fait attention aux autres) Je ne pense pas que, à présent, il soit nécessaire de te méfier de tout. Tu es une fille super qui a vécu des choses qu'elle n'aurait jamais du connaître ! Et ça t'as rendue moins confiante. Et cette histoire n'a fait qu’aggraver les choses. Alors, je vais répondre à ta question : Non, je ne te comprends pas, je ne l'ai pas vécu et encore moins comme toi, mais je peux imaginer. Tu n'as pas à te sentir conne, mais moi bien : je devrais me douter que ça peut te faire souffrir et te faire rager. Les obstacles ne sont pas seuls, car, souvent (toujours), ils sont accompagnés de moments de répits. Voilà. Je n'ai plus rien à dire.

(Déso pour le nom en entier, c'est arrangé) Mais, pour une fois que je ne tais rien fais à TOI, ne viens pas me chercher des poux. Je peux imaginer que tu m'en veuille car je fais souffrir L... mais il y a des limites !! Je ne suis pas bien placée pour en parler mais quand même, quoi ! Ouvre les yeux, tu ES plus sympa avec moi, au en tout cas, tu ne fais (faisais) plus rien pour me faire chier. À notre âge, c'est normal de foncer sans regarder, tête baissée, tu n'as pas à m'engueuler pour ça car tu le fais également. Je ne tais rien fais de si traumatisant que ça ! Je sais que ce que j'ai fais es loin d'être correct mais il y a des choses bien pire ! Et tu m'excuse, mais j'ai eu un peu de mal à le voir, étant donné qu'elle ne le montrais PAS ! Je suis d'accord pour dire que L... est une fille génial (je l'ai dit, moi-même). Et je suis d'accord aussi pour dire qu'elle n'aurait pas du connaître ça. Mais si tu crois que ça me plaît de lavoir souffrir, tu te mets le doigt dans l’œil. Ça mets tombé dessus comme ça, je ne l'ai pas choisis ! Relis mon texte et peut-être comprendras-tu qu'E... a été une exception : JAMAIS un mec n'était parvenu à me faire ça ! C'est la première fois que ça m'arrive ! D'ordinaire, je parviens à contrôler mes sentiments envers les garçons (tu en es la preuve vivante, car j'étais retombée amoureuse de toi avant cette histoire ''traumatisante''). Je ne peux plus m'en défaire, ce qui est fait est fait ! Je ne peux plus y changer grand chose. C'est ce que je disais. Et je n'ai jamais comparé des malheurs à d'autres (au sinon, donne-moi des exemples) Moi, j'ai encore quelque chose à dire : au lieu de toujours venir m'affronter derrière un écran (skype, 100drine), vient plutôt me dire ce que tu pense en face, tu seras gentil.