Pourquoi écrire?

J'ai envie d'écrire... Je sais pas sur quoi ni pour qui mais le fait est que j'aime écrire. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la portée des mots. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la force des paroles. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris que les mots étaient une arme, une arme aussi destructrice que ces fusils de chasse. J'ai aimé écrire lorsque des paysages se dessinaient dans les creux pleins et déliés des lettres. J'ai aimé écrire lorsque fermant le cahier, je me sentais comme d'un grand poids. Plus libre, plus légère, plus calme. J'ai aimé écrire lorsque je voyais des larmes ou des étoiles passant des yeux de mes lecteurs. J'ai aimé écrire lorsque je mûrissais en tentant sans cesse de m'améliorer. De prétendre au grade tant convoité de la perfection. J'ai aimé écrire lorsque je m'imprégnais du sens de chaque mot, de deux adjectifs placés côte a cote, d'une virgule ici plutôt que la, du rythme des lignes, du chant du texte. J'ai aimé écrire en sentant le vent dans mes cheveux, le soleil dans ma nuque, l'eau sur mes joues, la fumée de cigarette dans la tête, bouteille à la main, fête réussie, sourires échangés, larmes versées, la béatitude de l'instant. J'ai aimé écrire pour les secrets et histoires dévoilés. J'ai aimé écrire pour me vider l'esprit, mais également pour façonner la beauté, ma beauté. Histoire de me prouver que le monde que je voyais, je pouvais le transmettre. J'ai aimé écrire pour le courage que j'y ai puisé, l'amour que j'y ai exprimé, mais surtout l'envie de vivre que j'y ai fini par retrouver
Louloute au chocolat

Commentaires

ok

J'ai le cœur explosant de petits soucis. De peines qui ne s'effaceront jamais. De mal-être oppressant. De problèmes qui font perdre la tête. De morphines injectées. Une salle blanche. Un lit électrique. Une blouse claire. Un bruit effrayant. De l'agitation intense. D'insomnies terrifiantes. De maux de têtes constants. De vertiges monopolisants. De paupières lourdes. De corps morts. De nez qui saigne. De routine étouffante. De fous-rires perdus. De moments passés calmement. Des caresses. Des complicités. Des heures paumées. De la maison. Celle qui sent comme papi. Et tout ceux qui sont partis. Celle qui fait mal. De cigarettes fumées. De joints grillés. De bouteilles terminées. De la poussière sur la fenêtre. De feuilles de platane sur le sol. D'herbes coupées sur la terrasse. De seaux pleins de sable. Des vagues sur le corps. Des algues sur le bord. Le bord de l'eau. De l'air frais de la montagne. Des vallées inachevées. Des bêtes inconnues. De paysages époustouflants. De voyages longs. De monuments vus et revus. De personnes errants dans les rues. D'argent donné. D'une nuit d'été. Sous la chaleur insupportable. Avec l'odeur de la vaseline. Et les cris des animaux. Du coq à six heures du matin. De soleil absent. Qui revient quand il souhaite. D'orages plaisants. Des plongeons dans l'eau presque glacée. Des bains de minuits. Des concerts détruisant les tympans. De longues balades. A moto. A vélo. A pied. En pédalo. Au bord de l'eau. Des livres lus. Et relus. Et relus une troisième fois. Pour bien retenir l'histoire. On sait jamais. Des films vus. Une bonne dizaine de fois. De SMS non envoyés. Et de ceux non reçus. De musiques entendues. Écoutées. Jusqu'à s'en imprégner. De séries matées. A longueur de journée. De cheveux tressés. Puis lâchés. Et colorés. D'yeux fatigués. De visage non maquillé. De jambes épilées. D'ongles vernis. D'un vers anis. D'un t-shirt jauni. De sourire éclatant. De regards timides qui deviennent méchants. De sourires hypocrites et perdus. D'yeux qui pleurent. De rire caché. De photos prises. Toujours avec ce même sourire faux et aigri. De garçons intéressants. De ce garçon aux yeux bleus. De l'autre au mystère incompris. Du troisième perfectionné par sa beauté. Les mêmes larmes. Au même instant. En pensant à la même personne. Croyant et jurant l'avoir oubliée. Mais c'est un secret bien gardé. De regards lancés. De sous-entendus chuchotés. De petits sourires échangés. Des mains entrelacées. De câlins constants. De parfums envoûtants. De larmes perdues. De vie incongrue.

« Arrête ! - Arrêter quoi ? - Arrête d'être comme ça avec moi. Tu recommence... Arrête d'avoir ces attentions qui me font craquer, ces câlins sans arrêt. Arrête je t'en supplie, tu ne vois pas où ça nous mène, on redevient trop proche et je sais pertinemment que ça va encore mal se terminer. De plus, comment veux-tu que je me fasse à l'idée que cela va prendre une fin ? Tu y as pensé, seulement une fois ? N'avance plus, recule s'il te plaît, je veux être loin de toi, tu me fais mal sans t'en rendre compte. Je me suis attachée à toi, vraiment. Et je sais pas si ce qu'un jeu pour toi, comme ça l'a été pour moi. Mais c'est fini ça. Pourquoi t'agis plus comme ça avec les autres filles ? Pourquoi tu fais en sorte que je me sente spéciale à tes yeux si tu ne veux pas de moi ? Et pourquoi tu joues quotidiennement le chaud et le froid? T'essaie de me faire réagir c'est ça ? Je suis une sentimentale au fond, moi, merde. Je peux pas m'empêcher de craquer. Et encore moins pour toi. Alors je t'en supplie cesse de jouer un rôle avec moi. T'imagines quand tu m'auras lâcher lamentablement avant qu'il ne se passe quelque chose entre toi et moi ? Tout va me manquer chez toi ! Ton parfum si envoûtant qui me rend heureuse à chaque fois que tu me colles contre toi, ton sourire craquant, tes yeux brillants, nos mains entrelacées, toutes ces choses si insignifiantes pour certains qui pour moi ont leur importance. Pourtant, j'ai pas l'impression d'être amoureuse, enfin je ne veux pas. C'est ça, je me force à ne pas l'être. Même si je sais que je me suis attachée à toi, et que je me l'interdis depuis un certain temps. Saches que tu seras le dernier auquel je me suis accrochée, alors laisse pas une telle occasion défiler. ♪

wahouuuu c'est super.

Papa, T'en vas pas. Si tu l'aimes t'en vas pas Papa si tu l'aimes dis lui Qu'elle est la femme de ta vie Papa ne t'en va pas On peut pas vivre sans toi T'en vas pas au bout de la nuit Nuit tu me fais peur Nuit tu n'en finis pas Comme un voleur Il est parti sans moi On ira plus au ciné tous les trois Nuit tu me fais peur Nuit tu n'en finis pas Comme un voleur Il est parti sans moi Papa si tu pensais un peu à moi Où tu vas, quand tu t'en vas d'ici? J'arrive pas à vivre sans toi Avec la femme de ta vie Papa fais pas d' conneries Quand on s'aime on s'en va pas On ne part pas en pleine nuit Nuit tu me fais peur Nuit tu n'en finis pas Comme un voleur Il est parti sans moi Tu m'emmèneras jamais au USA Nuit tu me fais peur Nuit tu n'en finis pas Comme un voleur Il est parti sans moi Papa j'tassure arrête ton cinéma Nuit tu me fais peur Nuit tu n'en finis pas Comme un voleur Il est parti sans moi Papa j'suis sûre qu'un jour tu reviendras

Jenny va encore se coucher tard Jenny passe ses nuits dans les bars Dans ses sourires, dans ses regards Se mélangent le doute et l'espoir Jenny va rester là encore un moment Elle attend toujours un sourire Tu n'as pas à rire à toutes ses blagues Tu n'as pas à écouter quand elle parle Pas vraiment d'importance la façon dont tu joues Tu n'auras pas à faire d'effort Jenny t'aimera de tout son corps Pour une heure, pour une nuit C'est comme ça qu'elle gagne sa vie Oui....oui Tout l'amour qu'elle apportera ce soir Est suffisant pour que tu te sentes bien Même si tu dois toujours payer De plus en plus Jenny s'abîme À tant donner sans recevoir Elle dit qu'elle connaît la fin du film Elle dit qu'elle n'a plus peur du noir

C'est pas une chanson ça?

Woa... C'est trop beau ... ♥♡♥

Merci *_*

c beau mais triste mais tu peux ecrire quelquechose sur l'amour sltp mais de joyeux

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