Pourquoi écrire?

J'ai envie d'écrire... Je sais pas sur quoi ni pour qui mais le fait est que j'aime écrire. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la portée des mots. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris la force des paroles. J'ai aimé écrire depuis le jour ou j'ai compris que les mots étaient une arme, une arme aussi destructrice que ces fusils de chasse. J'ai aimé écrire lorsque des paysages se dessinaient dans les creux pleins et déliés des lettres. J'ai aimé écrire lorsque fermant le cahier, je me sentais comme d'un grand poids. Plus libre, plus légère, plus calme. J'ai aimé écrire lorsque je voyais des larmes ou des étoiles passant des yeux de mes lecteurs. J'ai aimé écrire lorsque je mûrissais en tentant sans cesse de m'améliorer. De prétendre au grade tant convoité de la perfection. J'ai aimé écrire lorsque je m'imprégnais du sens de chaque mot, de deux adjectifs placés côte a cote, d'une virgule ici plutôt que la, du rythme des lignes, du chant du texte. J'ai aimé écrire en sentant le vent dans mes cheveux, le soleil dans ma nuque, l'eau sur mes joues, la fumée de cigarette dans la tête, bouteille à la main, fête réussie, sourires échangés, larmes versées, la béatitude de l'instant. J'ai aimé écrire pour les secrets et histoires dévoilés. J'ai aimé écrire pour me vider l'esprit, mais également pour façonner la beauté, ma beauté. Histoire de me prouver que le monde que je voyais, je pouvais le transmettre. J'ai aimé écrire pour le courage que j'y ai puisé, l'amour que j'y ai exprimé, mais surtout l'envie de vivre que j'y ai fini par retrouver
Louloute au chocolat

Commentaires

:'( c'est très beau ce que ta mère t'a écrit... Elle t'a fait une lettre ou elle t'a dit ça à l'oral?..

Elle a fait une lettre pour ma petite soeur et ma soeur me l'a faite lire ^^

Cc ← méga incruste ^^D

La fille qui s'incruste sur une humeur de plus de 300 commentaire :D

Salut ^^

Ben oui je m'incruste totalement !!! o moins avec un peu de chance personne n'aurrai remarquer si je ne l'avait pa di

Ouais c'est vrai :D

Perdre le contact, briser le lien, s'éloigner.                                                                                              Ne pas se parler, te regarder en attendant un regard, esperer.                                                                   Te trouver des défauts, trouver des raisons de t'en vouloir, être mélancolique. Rêver d'avant, un mot échangé, sentir son coeur se gonfler. Réaliser que rien n'a changé, voir son coeur se briser, t'en vouloir. Ressasser ses erreures, culpabiliser, regretter. Complexer, être jalouse sans raison, se sentir invisible. Remarquer que t'en a rien a faire, regretter le passé, pleurer. En vouloir a mon coeur de t'avoir aimé, En vouloir a mon esprit d'avoir cru ca possible, M'en vouloir. 

Et recommencer.

Le problème c'est qu'on ne peut pas aimer entièrement quelqu'un sans que nos démons ne nous apprennent à le haïr d'une certaine façon.

Je sais même pas quel mot nous qualifie... Amis? Nan, parce que des amis ne se détruiraient pas mutuellement comme on le fait. Ennemis? Non plus parce que des ennemis ne s'aimeraient pas comme on s'aime. Entre nous c'est "je t'aime, moi non plus" et ça, faut qu'on arrête. Il faut qu'on arrête. Il faut qu'on parleet l faut qu'on arrête de s'prendre la tête, juste parce-qu'on est deux personnes bien trop faibles pour se haïr comme il le faut et bien trop fières pour laisser l'autre en paix ne serait-ce qu'un instant.

Je n'en peux plus de cette amitié, notre amitié mais pourtant j'y tiens plus que tout.  Tes ignorances, tes tentatives de me rendre jalouse, tes câlins, tes regards, tes mots, parfois tellement violents, tellements crus puis subitement doux et charmeurs. Nos nuits passées à discuter dans mon lit puis nos journées usées à s'éviter et à s'envoyer balader. J'essaie de faire genre je m'en fou, mais toi tu le sais, tu le sais comme je t'aime.

Alors pourquoi on arrête pas ce jeu? Simplement parce que c'est moi qui ai commencé, moi qui t'ai rendu comme ça. La seule responsable, c'est moi, je t'ai entraîné dans une relation sans fond, sans fin, sans but. On est comme des âmes qui cherchent simplement à continuer à exister alors on se fait du mal pour ressentir au moins quelque chose. 

Je voudrais qu'on arrête une fois pour toute de toujours vouloir gagner, de toujours se fracasser à coup de mots aussi terribles et blessants les uns que les autres. Je veux plus de ça. Je veux plus de toutes ces conneries. Mais la vérité, c'est que moi jamais je viendrais m'excuser, jamais je ne te supplirais d'arrêter nôtre stupide petit jeu, au contraire. Et le pire, c'est que je culpabilise même pas de ne pas revenir. Tu le sais toi. Tu le sais à quel pointje hais me rabaisser face aux gens. J'ai un caractère de merde, et j'ai déteins sur toi.  Mais je t'en prie,  me laisse pas comme ça, me laisse pas te détruire. Tu sais bien que tu es comme mon ombre, que j'ai besoin de toi. On a jamais eu besoin de se dire les règles, de ce jeu auquel on joue, ce jeu de celui qui reviendra le premier, et qui laissera sa fierté de côté. J'suis pas faible moi. Tu me manques même pas, c'est atroce. Quand je te croise, j'ai les larmes aux yeux parce que je sais que c'est moi qui ai provoqué ça et que j'en éprouve pas de remords, au contraire même, j'en suis presque fière d'avoir créé cette relation qui fait tourner en rond tant de gens autour de nous. Je sais qu'il y a beaucoup de choses que je n'aurais jamais dû te dire, et que je t'ai fais du mal. J'ai tout bousillé, réduit en miette, cette amitié qui était sublime pour la transformer en cette union si unique mais si douloureuse. C'est pas la première fois que j'ai ce lien avec quelqu'un, c'est quelque chose qui arrive automatiquement aux personnes trop proches de moi. C'est comme ça.

Je hais ces moments où on est bien, tous les deux, que les mots sortent sans complexes, et qui, à cause d'une phrase mal tournée provoquent ces moments de malaises, de mal-être.

Je suis pas désolée d'être comme je suis. De dire les choses comme elles viennent, sans réfléchir, sur un coup de tête. Je suis pas non plus désolée d'avoir tout gâchée, tout détruit. T'étais prévenu, tu savais à quoi t'en tenir. Mais s'il te plait, reviens. Je sais que j'en demande beaucoup. j'en demande toujours trop. Mais moi j'ai besoin de toi.

On à joué, je t'ai perdu. Recommençons la partie, oublions tout et changeons les règles. 

Tu veux qu'on soit ensemble, nous deux? Tu veux qu'on essaie de construire quelque chose comme un couple? Tu en es sûr? D'accord.

Mais je tiens à te prévenir: c'est moi qui mène la danse. Toi, tu essaies de m'apprivoiser.. Arrête de te fatiguer, tu sais aussi bien que moi que tu n'en es pas capable, et que c'est perdu d'avance. Je ne suis pas de celles qui se laissent attendrir, ou qui tombent amoureuse. Je ne suis pas de celles qui s'attachent, et tu le sais. Alors pourquoi tu t'acharnes.? Tu vois bien que je rejette ton affection. Tu crois peut-être que tu seras différents des précédents hommes et que tu sauras retirer cette carapace qui me protège de tout sentiments.? Arrête toi, tu risquerais de te faire du mal toi-même. Je te l'ai dis. Ne cherche pas à m'aimer. Contente-toi de ce que je te donne, ou alors vas-t'en. Je te l'ai dis, je ne m'ouvrirais jamais complètement. Je ne te dirais jamais "Je t'aime." Je vais te briser le coeur si tu continues comme ça. Je te l'ai dis dès les premières minutes. Je ne crois pas en l'amour. Pars avant de perdre à ce jeu. Pars avant de tomber amoureux. Cours loin, loin de moi. Un "Nous" n'existeras jamais. Tu mérites bien mieux qu'une fille qui n'est jamais sûre de ses sentiments, qui à le coeur qui déconne, et qui doute sans arrêt, je te l'assure. Je ne suis pas faite pour toi.. Tu es merveilleux, mais.. Je ne suis pas encore prête, et je ne le serais peut-être jamais.

Elle est mon adorable, elle est presque le diable, elle est mon eau, elle est mon air, elle est presque l'enfer.

Elle, c'est une enfant chiante, une gamine fatiguante, insuportable, intenable. Mais elle, c'est une enfant délicieuse, une enfant malicieuse, celle qui me rend heureuse. Tellement capricieuse.

Elle est tellement dingue, presque comme un flingue. Sur ma tempe. Elle est tellement charmante. Pour elle, rien n'est impossible, elle est tellement inadmissible. Quand elle m'assaille de questions, un vrai petit démon.

Elle veut connaître tous mes amis, gagner tous les paris, aussi curieuse c'est pas permis.

Elle me reproche tout quand ça ne va pas, mademoiselle est irréprochable. Irremplaçable. 

Mais elle me rend tellement heureuse, aussi peut-elle être capricieuse, malicieuse, chiante et charmeuse.

Sous mes regards tendres et attentionnés, mes mains câlines qui savent guider ses pas, mes mots fiers qui ne tremblent pas. Elle me l'a dit, elle deviendra sage si je la rend heureuse.

Une enfant délicieuse. 

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